Préparatifs et liste du matos de notre tour du monde (2 ans)

Introduction

Petite remarque de début d’article. Nous avions longtemps hésité à envoyer des dossiers de sponsoring, car tous ces achats coûtent cher lorsqu’ils sont cumulés. Finalement nous ne l’avons pas fait, un peu par flemme pour être honnête, mais aussi pour ne pas se sentir redevables ou dépendant d’une seule marque. Cet article est donc le reflet de nos recherches, du temps passé sur les blogs et les forums, et bien entendu de l’opinion que l’on s’est fait après avoir testé sur le terrain le matériel (avant de partir et depuis les 9 mois écoulés).

Cet article n’a pas la prétention de donner des conseils sur ce qui doit ou ne doit pas être emmené avec soit en voyage, c’est simplement la description de notre baluchon de voyage, 9 mois après le départ. Chacun étant différent, cette liste n’est pas à prendre au pied de la lettre, et il faut mener ses propres recherches et se faire une idée personnelle avant de partir tête bêche faire ses achats. Nos sources principales de recherche : Tourdumondiste, Entre2poles, Alaska-Patagonie.

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Janvier 2020. Ca y est, on sait qu’on va partir. La question de quand et où se posent encore, mais la décision est prise. Alors que nos discussions continuent encore sur le parcours, on s’attarde sur les blogs de grands voyageurs. Il faut se préparer, l’aventure sera longue et nous fera passer par tous les climats.

C’est parfois une question de confort ou d’esthétique, parfois une question de survie, mais presque toujours une question de durée de vie. On aimerait partir au moins 2 ans, et pour ça nos critères de choix principaux sont :

1. Légèreté
2. Résistance
3. Versatilité (multi-usage)
4. Coût

Difficile d’avoir les 4 en même temps, seul Décathlon semble y arriver de manière générale (mais on repassera pour le « made local »).

Pour les plus pressés, voilà la liste COMPLETE de nos sacs à dos :

Et maintenant on rentre un peu plus dans le détail de nos ressentis et de nos choix :

Les sacs à dos

• Millet UBIC 50+10L pour Théo

Joli et léger (1,8 kg), je l’ai acheté pour ce voyage. Beaucoup plus petit que mon ancien Quechua de 80L, je voulais m’autolimiter dans la surcharge (on dit que plus un sac est grand, plus on a tendance à le remplir de choses inutiles). Finalement, je pense qu’il était un peu trop petit, et qu’un 60+10 aurait été plus approprié. Je suis un peu obligé de forcer dessus pour tout faire rentrer, et à presque 20 kg je ne suis pas sûr qu’il tienne longtemps. On verra sur la durée, j’essaye de le ménager du mieux que je peux, entre autre la pochette extérieure en filet élastique (pour l’eau) semble fragile. Pour le reste, le confort, le côté pratique comme l’organisation des poches, ouverture du bas et du haut, séparation centrale, tout est bien pensé !

• Quechua 60L pour Manon

Acheté en 2015 pour un voyage en Islande, Manon ne s’en est jamais séparée pour aucun de ses voyages (Vietnam, Indonésie, Europe) et il est toujours en super état. Costaud et bien foutu avec ses deux poches latérales extérieures, il a été plus qu’éprouvé, on valide !

Chaussures

Plusieurs chaussures dans le sac… Trop peut-être ?

• Une paire de tongs
• Une paire de basket légère (qui nous a servi sur le bateau, pour sortir en ville, pour avoir une autre paire lorsque les chaussures de rando sèchent après un trek sous la pluie… (on parle en connaissance de cause !))
• Manon a gardé pendant 6 mois une paire de Birkenstock, de l’Espagne jusqu’en Colombie, mais en a fait don depuis l’Equateur. On quitte les pays chauds pour un moment, donc poids inutile dans le sac…
• Chaussures de rando basse : le MUST pour nous ! En ville, en transit, en montagne, en rando, elles passent (à peu près) partout, ne sont pas trop lourdes et sont waterproof (dans la limite du raisonnable).
  • Theo : Marque Merrell : je suis parti avec une paire vieille d’un an, mais elle s’est abimée super vite. J’ai envoyé un mail à la marque, qui a été très réactive et compréhensive, et m’a offert une nouvelle paire (reçue en France, amenée en Equateur par la famille de Manon !). Un gros PLUS pour le SAV Merrell. J’ai donc maintenant la paire Homme MQM Flex 2 GORE-TEX®, on verra dans quelques mois ce que ça donne…
  • Manon : Marque Quechua, Chaussures imperméables de randonnée montagne – MH100. Increvables depuis 6 ans, elles commencent à montrer des signes de fatigue… Elle va sûrement bientôt devoir changer, mais excellent rapport qualité-prix !

Vêtements (hauts)

Pour les vêtements, on a adopté le système en couches thermiques et isolantes. L’idée étant d’avoir très peu de rechange et qu’ils ne prennent pas trop de place dans le sac. Le concept est basé sur 3 couches, une sous-couche thermique mais aérée et collée au corps, une couche thermique épaisse et un coupe-vent imperméable. Dans le jargon technique, on appelle « softshell » une veste souple, déperlante (qui supporte une pluie fine mais pas soutenue) et légèrement coupe-vent, et « hardshell » une veste plus rigide et parfaitement imperméable.

Dans notre cas, on a ajouté des couches intermédiaires car on va passer par plusieurs saisons et ça sera plus simple et plus agréable à gérer.

Pour le cas extrême (pas si extrême que ça pour Manon qui est régulièrement dans cette configuration 😛) où l’on met toutes les couches, on se retrouve avec, dans l’ordre :

En résumé :

Et en plus, dans le sac :

Theo :

• 2 teeshirts en laine mérinos (1 Décath et 1 Ice Breaker, parfaits) et 2 en cotons – combo parfait pour l’instant
• 1 bonnet – servi dans les Pyrénées et en Équateur pour l’instant
• 1 petite paire de sous-gants Forclaz en synthétique
• J’ai racheté une écharpe en Équateur, bien utile ! Surtout en alpaga 😍

Manon :

• 2 teeshirts en laine mérinos (1 Décath et 1 Ice Breaker) et 3 cotons (1 débardeur et 2 normaux)
• 1 petite robe d’été (donnée après l’Equateur)
• 1 chemise Décath – ultra utile pour se protéger du soleil ou des moustiques le soir
• 1 petit pull en laine col rond
• 1 bonnet
• 1 foulard
• 1 petite paire de sous-gants Forclaz en synthétique
• 1 tour de cou
• 1 poncho racheté en Équateur (mais qu’elle a du mal à caser dans le sac 😅)
• 2 soutiens-gorges normaux et 1 brassière (Etam, parfaite (dos croisé) !)

Vêtements (bas)

Pour la partie basse, le must, c’est toujours la laine mérinos pour les sous-vêtements. Les chaussettes entre autre, ça fait la diff’ !

Theo :

• 3 paires de chaussettes mérinos et 2 paires de soquettes en coton (8 mois plus tard, j’en ai perdu 2 paires, racheté 2 paires en cotons)
• 2 caleçons synthétiques et 1 en mérinos
• Un pantalon Forclaz chaud et imperméable (rembourré polaire à l’intérieur) – très peu servi, juste pour des randos > 4000 m en Équateur
• Un collant (pour les nuits fraiches de bivouac) en laine mérinos
• Pantalon 2 modes (short / pantalon) Forclaz – GENIAL
• Jogging – pour se poser le soir, hostels ou airbnb
• Short en coton – sympa de changer de short, en ville notamment, au bord de la plage aussi, quand on reste plusieurs jours au même endroit
• Short de bain

Manon :

• 2 paires de chaussettes mérinos et 2 paires de soquettes en coton
• 4 culottes + 2 culottes menstruelles
• Un pantalon de rando Forclaz
• Un legging
• Un jean
• Un short en jean
• Un short de sport
• Un maillot de bain

Electronique

Côté photo, c’est un peu ma passion (Théo) et j’ai décidé de ne pas me priver. J’ai troqué mon réflex Canon contre un hybride de chez Lumix, qui pèse moins lourd et qui fait de belles vidéos. On a également pris un ordi portable pour la retouche photo, écriture article, les montages vidéos et une petite série Netflix de temps en temps ^^

Niveau budget cela reste le pôle de dépenses principal, donc à chacun de peser le pour et le contre, de voir si cela vaut la peine d’emmener tout ça. Pour nous pas de regrets pour l’instant après 9 mois de voyage.

La liste :

• Appareil photo numérique hybride : Lumix GX9
• Obj. 14-140 mm (F3.6-5.4) + obj. 25 mm f1.8
• Chargeur
• Batterie rechange
• Cartes SD (64 Go + 2×8 Go)

Il s’agit d’un capteur 4/3, donc il faut doubler les focales pour avoir l’équivalent sur un plein format (25 mm <=> 50 mm).

Très content pour l’instant, joli boitier au look un peu vintage, photos très bien de jour et au coucher de soleil, mais dès que la nuit tombe, même avec le 25 mm c’est plus compliqué, on monte vite dans les ISO. Vidéos hyper stabilisées, autofocus automatique pour la vidéo aussi, et le 14-140 est vraiment passe-partout.

• Trépied Gorillaz – un peu lourd et encombrant pour l’utilisation que j’en fait, je m’en suis débarrassé au Pérou
• Ordinateur ACER SWIFT 3 + chargeur + housse

Plutôt contents, on l’a acheté pour le voyage donc il est encore tout neuf. Un peu limite pour le montage mais on y arrive quand même sur Premiere Pro, avec un peu de patience. Aucun souci pour la navigation web, la retouche photo et le traitement de texte.

• Camera type GoPro : Amazon Crosstour. Pas transcendant, les vidéos ne sont pas du tout stabilisées. Mais ça fait l’affaire quand même, et surtout elle est beaucoup moins chère !
• Souris + écouteurs + disque dur + clé USB + tous les câbles nécessaires aux recharges
• Téléphone : iPhone 12 mini (belles photos) et Huawei Nova 5T

Notre portable reste notre outil principal en voyage. Accès aux comptes, réservation de logement, de transport, calculatrice (même juste pour négocier ou afficher un prix), réseaux sociaux, backup documents d’identités, appareil photo (toujours sur soi), lien avec la famille. Coque résistante et verres trempés pour protéger l’écran.

• Petite enceinte bluetooth JBL GO 2 – compacte (400g tout de même), et joli son ! On aime retrouver de temps en temps un peu de musique en camping ou sur la route 🙂
• Liseuse Kindle pour Manon – TRES utile ! Je vais peut-être craquer aussi, à voir…

Camping / Survie

On a fait le choix d’emmener notre tente avec nous, pour plusieurs raisons. Une raison économique, car faire du bivouac ou dormir en camping coûte moins cher qu’un hôtel. Une raison de « survie », car on n’est pas trop « belle étoile », et lorsqu’on fait du stop on n’est jamais sûr que l’on trouvera un logement pour le soir. Cela nous a dépanné plusieurs fois en Espagne, où c’était plutôt mal barré et sans tente, je ne sais pas ce qu’il se serait passé. Je pense qu’on peut toujours compter sur la bienveillance des gens si l’on va toquer à une porte le soir tombé, mais bon, on ne sait jamais.

La dernière raison, la principale selon moi, est qu’on adore camper, tout simplement ! Depuis l’enfance jusqu’aux voyages en Europe ou dans le monde, ou des randos dans les Alpes, on a souvent campé avec Manon. Et se retrouver seuls au monde, en bivouac, en montagne, en plaine ou au bord de la mer, c’est toujours magique. On en a fait de beaux lors de notre premier mois en France et en Espagne, sur la plage aux Antilles, en Colombie et en Équateur. Les treks du Pérou s’annoncent bien sympa aussi !

Mais prendre la tente implique de prendre beaucoup de choses, qui, accumulées, prennent de la place et pèsent lourd. On a donc investi dans un équipement technique de qualité, parfois coûteux mais assez léger.

• Tente MSR HUBBA HUBBA NX + tapis de sol – tente au top, légère (1,7 kg) et que l’on arrive à séparer en 2 pour se répartir le poids. En revanche le prix reste très élevé (autour de 300€)…
• Matelas Sea To Summit Ultralight – Rien à redire non plus, léger (550g) et compact. Non isolé et on glisse un peu dessus, mais pas dérangeant pour nous.
• Duvet Sea to Summit Spark II en plumes pour Théo, léger et multisaisons. Un peu light pour des températures < 5 °C, mais déjà fait du -5°C avec, en empilant toutes les couches et avec un plaid en plus ça passait. Pour le voyage on compte passer par tous les climats donc il fallait aussi quelque chose pour s’adapter à du 10-15°C
• Duvet Forclaz 10°C confort en plumes pour Manon, léger et pareil un peu juste pour des températures < 5°C.
• Sac à viande (en soie pour Manon (Décathlon), en coton pour Théo) – un MUST en voyage même si on ne compte pas faire de camping
  
  
  

• Oreillers Quechua à 15€, gonflable, léger et ultracompact, parfaits !
• Boules Quies et masque d’avion, nécessaires
• Couvertures de survie
• Réchaud / Popote (1L) / Gaz / Couverts / Mug (alu pour Manon, plastique pour Theo)

On a pris le low-cost Butagaz en partant, qui nous a servi pour l’Espagne, le Portugal et les Antilles. Arrivés en Colombie, impossible d’en trouver donc on a racheté un système complet (réchaud, support bouteille et bouteille de gaz). On a réussi à retrouver des bouteilles ensuite en Equateur et au Pérou, mais donc on se trimballe encore le réchaud Butagaz… On va voir pour combien de temps encore.

• Gourdes filtrantes
  • Lifestraw (Manon) – très utile tous les jours, même pour de l’eau qui est buvable. Sert de gourde classique en plus du filtre
  • Mini sawyer 2 (Theo) – sera sans doute plus utile en trek, en Asie ou dans des coins paumés, mais pour l’instant (Europe, bateau, Canaries, Cap Vert, Antilles), je ne m’en suis servi qu’en Equateur, en trek
    
    

Hygiène

Côté hygiène, on reste assez basique. Brosse à dent et dentifrice classique, une serviette microfibre décathlon chacun (et une mini serviette microfibre en plus), savon solide, shampoing solide, une paire de ciseaux, une pince à épiler, un coupe ongle, un rasoir et un baume à lèvre anti-UV.

Dans les « nouveautés », on est passé aux cotons-tiges en bambous, les oriculis. On met un peu de temps à s’habituer, mais comme pour tout on finit par s’y faire. Ecolo, ça ne tient pas de place et fait le même boulot.

Manon s’est trouvée une super pochette imperméable pour faire tenir les savons solides (lorsqu’ils sont trempés c’est compliqué, ça en met partout), c’est ultra pratique.

Hygiène intime

• 2 culottes et 2 serviettes menstruelles lavables (achetées sur La Maison du Bambou)
• Cup

Santé

« Et le plus important, c’est la santé !! » Que ça soit pour les voeux de fin d’année ou pour les au-revoir avec la famille, on nous l’a suffisamment répété pour qu’on en tienne compte 🙂

La santé en voyage, ça passe par quoi ?

• Les vaccins
• Une assurance
• Une trousse à pharmacie bien fournie
• La prudence (toujours de mise sans tomber dans la paranoïa)
• Une nourriture fiable (bien qu’après quelques mois on soit beauuuuuuucoup moins exigeants)

Les vaccins

Pour faire court, voilà ce qu’on a fait :

• Fièvre jaune
• Fièvre typhoïde
• Rage
• Rappel Diphtérie-Tétanos-Polio
• Hépatite A
• Hépatite B
• Covid-19 (3 doses, dont la 3ème faite en cours de route)

Pour l’Amérique du Sud, on a lu qu’il fallait faire la fièvre jaune, surtout lorsque l’on passe d’une zone à risque à un autre pays. Typiquement pour faire Afrique centrale au Pérou par exemple en avion, ils peuvent vous le demander. Mais dans notre cas, ils ne nous l’ont jamais demandé (jusqu’à présent, à savoir Panama – Colombie – Equateur – Pérou).

Pour le budget, difficile de retrouver les montants exacts… De mémoire, pour tout faire (vaccins + consultations), on en a eu autour de 200€ / pers. On s’est fait rembourser DTP et hépatites.

Assurance

On s’y perd un peu avec tout ce qu’on nous propose… Et honnêtement, après 9 mois de voyage, nous ne sommes peut-être pas les mieux placer pour en parler car nous ne nous en sommes jamais servis (pour l’instant !).

On a une assurance avec nos cartes bleues (Mastercard + Visa) – nous écrire en perso si vous voulez plus d’infos – et nous avons également souscris une assurance voyage, Chapka Assurance.

Chez Chapka, il y a plusieurs formules, nous avons pris la formule « Cap Aventure – Couple », sans les USA ni le Canada puisque l’on ne pense pas y passer pendant notre tour du monde.

Il s’agit d’une dépense importante, de 1092€ pour nous 2… On croise les doigts pour n’avoir jamais à s’en servir !

Trousse à pharmacie

Le médecin du voyage que nous avions consulté avant le départ nous a prescrit quelques médicaments :

• Antibiotiques à spectre large
• Malarone (contre le palu, 2 boites de secours à ne prendre qu’au moment de se rendre dans une zone à risque (avant-pendant-après))
• Antidiarrhéique (contres diarrhées de type dysentérique)
• Imodium (antidiarrhéique normal)

Un copain infirmier (merci Tom !) nous a fourni une belle trousse avec dedans :

• Pansements de tout type (bobos, ampoules, waterproof)
• Sérum physiologique
• Antiseptique (Biseptine)
• Spasfon / Doliprane / Aspirine
• Citrate de bétadine

Mais on pense qu’on a un peu trop pris… A part sérum phy, pansements, imodium et doliprane, on n’a encore rien utilisé !

Papiers

Le plus important, à ne jamais égarer ! A laisser dans sa chambre lorsqu’on est dans un endroit un peu craignos, à garder précieusement dans sa pochette « c’esttoutemavie » ! Soit en banane ventrale planquée sous les vêtements, soit dans son petit sac que l’on ne perd jamais de vue.

Nous on a pris :

• Passeport (attention à la date d’expiration, presque tous les pays demandent qu’ils soient valides encore 6 mois après l’entrée)
• Carte d’identité (elle reste au fond de nos gros sacs à dos, jamais au même endroit que les passeports)
• Permis de conduire (si nécessaire), pareil il est avec la CI au fond du gros sac, je ne m’en suis servi qu’en Martinique et aux Canaries pour l’instant, mais il servira peut-être pour l’Argentine et la Nouvelle-Zélande
• Permis de conduire international (pour la Nouvelle-Zélande)
• Carte bleue (une VISA et une MasterCard). 2 pour Théo et 1 pour Manon. Nous avons rencontré des voyageurs qui en prenaient une déjà expirée pour la donner à de potentiels agresseurs
  
  

Les petits essentiels à ne « Jamais oublier pour Son Sac » ❤️

• Housse de compression / Housse de rangements
  • Vaude / Deuter / Sea to summit pour Theo
  • Forclaz demi-lune pour Manon
• Boules Quies
• Opinel
• Fringues mérinos
• Liseuse numérique
• Pochette savon solide (Petit renard)
• Petite corde et pinces à linge
• Scotch (électrique ou non – pour refermer tous les sachets ouverts, pour réparer des trucs à droite à gauche)
• Jeux de cartes et de dés (+ backgammon pliable)
• Enceinte pour la musique (pas essentiel mais très appréciable !)
  
  

Conclusion

Voilà pour cette liste, susceptible d’évoluer au fur et à mesure du voyage ! Rien n’est fixe, rien n’est absolu, des idées que l’on pensait « essentielles » au départ peuvent l’être beaucoup moins après quelques mois.

Il faut surtout s’écouter, se renseigner, prendre un peu plus que nécessaire quitte à donner ou à échanger une fois lancé. Au moins, pas de regrets 🙂

Mais SURTOUT, il faut penser que l’on peut trouver tout ce qui nous sera nécessaire, en arrivant dans un endroit. A la montagne, vous trouverez des pulls. A la mer, un maillot de bain. Le tout, souvent local et moins cher !

Si vous avez des questions ou des remarques sur notre article, n’hésitez pas à nous écrire, soit en commentaire soit via la page « Contact » de notre blog 🙂